Latin

Niveaux concernés : 2nde, 1ère, Term
exclusivement en filière générale

L’enseignement du Latin se commence en Cinquième et se poursuit en Seconde, Première et Terminale. Interrompu une année, il ne peut être repris. En revanche, il peut élargir le champ des possibilités en Seconde et selon l’orientation, l’évolution de l’élève, il peut être abandonné après la Seconde ou après la Première.

MIEUX VAUT AVOIR LA POSSIBILITÉ D’ABANDONNER UNE OPTION QUE DE REGRETTER DE NE L’AVOIR JAMAIS CHOISIE.

Au baccalauréat :

  • l’enseignement de spécialité se passe à l’écrit (version + commentaire en Français).
  • l’option facultative se passe à l’oral sur une liste de textes étudiés en classe comme une langue vivante.

À qui s’adresse-t-elle ?
De préférence à des élèves motivés, soucieux de rigueur, d’approfondir leur esprit d’analyse, de recherche ; en un mot soucieux de CULTURE.

Faut-il un bon niveau ?
L’hétérogénéité des élèves en Seconde rend nécessaires les révisions et la mise à niveau. Le problème d’ailleurs après quelques semaines n’est plus l’acquisition des conjugaisons latines mais la traduction…. en Français !….
Bonne volonté et bonne humeur sont des atouts primordiaux.

Pourquoi étudier le latin à l’aube du 21ème siècle ?
Pour la RÉUSSITE, disons-le franchement !

  • †une réussite gratuite, discrète faite d’un enrichissement personnel aux sources de notre langue et de notre civilisation.
  • une réussite plus payante dans l’éclairage de notre littérature : « Don Juan aux Enfers » de Baudelaire, le Carpe Diem  repris par les poètes, Camus et son Mythe de Sisyphe, Les Mouches de Sartre…. Etre latiniste, c’est être privilégié….
  • privilège d’un savoir , d’enrichir sans y penser son vocabulaire, d’asseoir ses bases grammaticales, ce qui favorise le plaisir de LIRE.
  • et enfin, une réussite mathématique : l’occasion de décrocher une mention, de se départager entre scientifiques de même niveau. Français et Latin sont devenus à ce titre des critères de sélection de grandes écoles. D’ailleurs, la majorité de nos latinistes sont des scientifiques.

Ne ravivons pas la querelle des classiques et des modernes ; néanmoins la CULTURE sera l’élément déterminant du 21ème siècle.